Migas Chelsky – Claudine Guibert
Des maisons et des hommes
Du 31 mai au 21 juin 2025
Vernissage le samedi 31 mai à 18 heures.

C’est avec la frénésie de l’archéologue que j’arpente la plage à la recherche de
mes matériaux, avec l’espoir secret de la découverte du « trésor ».
Dans mes trouvailles aléatoires il y a quelque chose à la fois d’inquiétant et de
réconfortant. Il faut s’adapter, toujours.
Le processus créatif intervient bien après. Tout dépendra de ce que j’aurai à
dire.
A chaque étape, la dimension poétique m’accompagne, tout est question de
sensibilité.
Mon travail est une invitation à voir l’invisible, une invitation à avoir un autre
regard sur le monde qui nous entoure.
mes matériaux, avec l’espoir secret de la découverte du « trésor ».
Dans mes trouvailles aléatoires il y a quelque chose à la fois d’inquiétant et de
réconfortant. Il faut s’adapter, toujours.
Le processus créatif intervient bien après. Tout dépendra de ce que j’aurai à
dire.
A chaque étape, la dimension poétique m’accompagne, tout est question de
sensibilité.
Mon travail est une invitation à voir l’invisible, une invitation à avoir un autre
regard sur le monde qui nous entoure.
Claudine Guibert.
Aujourd’hui, je fabrique des maisons délabrées, abandonnées, isolées sur et
avec du carton ondulé. J’aime ce matériau pour sa « générosité » : sa matière et
ce qu’il m’offre quand il est dénudé, lacéré, froissé, percé… et puis il y a de la
dérision dans ce carton !
Le point de départ de mes maisons, c’est l’évocation, à la fois d’un lieu isolé,
abandonné, désolé, triste et pauvre et celle d’un refuge, d’un abri, d’un lieu de
cachette, de fuite. Chaque baraque est une âme qui renferme une histoire, des
secrets, des peines et des regrets et peut-être quelques doux souvenirs. Chaque
Baraque est l’ébauche d’un portrait.
avec du carton ondulé. J’aime ce matériau pour sa « générosité » : sa matière et
ce qu’il m’offre quand il est dénudé, lacéré, froissé, percé… et puis il y a de la
dérision dans ce carton !
Le point de départ de mes maisons, c’est l’évocation, à la fois d’un lieu isolé,
abandonné, désolé, triste et pauvre et celle d’un refuge, d’un abri, d’un lieu de
cachette, de fuite. Chaque baraque est une âme qui renferme une histoire, des
secrets, des peines et des regrets et peut-être quelques doux souvenirs. Chaque
Baraque est l’ébauche d’un portrait.
Migas Chelsky.
www.migaschelsky.blogspot.com
www.facebook.com/claudineguibertartisteboisflotte/