« Métamorphose de l’âme »

Du 6 au 27 septembre 2025


Ce travail de peinture est-il entreprise de résistance ou le désir insatiable de ce qui n’est pas encore né de prendre corps ?
Ainsi la violence ne serait pas celle du peintre, mais celle de ce qui désire venir au monde. Par une conception autre que biologique. Éros cosmique ?
Quelque chose d’inconnu, en dehors du temps, dont le désir incommensurable d’être engendré, traverse le peintre, le prend comme outil pour que cela advienne.
De la nuit à la nuit, de celle dont l’être est issu à celle qui l’attend, entre l’arrachement et l’aspiration au néant – tout est désir.